Article n°11440

23h00 TENDANCE ET OPTIONS POUR DEMAIN – séance du vendredi 8 juin 2012

_{Pour les nouveaux arrivants, merci de lire l’historique et les objectifs du blog NT}

NouveauTrader 7ème sur 751 analystes en 2011 !

Nouveautrader 6ème sur 293 analystes au 1er trimestre 2012

Trader’s Mag a consacré un article en page 25 à NT pour son numéro de juin 2012 : cliquez ICI

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Points-clé valides pour la séance du vendredi 8 juin 2012

Les points-clé journaliers des actions sont à consulter ICI

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Le vendredi 8 juin 2012 : PIB Japon, balance commerciale en avril (USA, 14h30), stocks des grossistes en avril (16h00)

LA FIN DE L’EMPIRE AMERICAIN, C’EST POUR QUAND ?

Personne ne peut dire à quel moment les USA seront rattrapés par leur dette publique abyssale, mais il est clair que sans aucun plan sérieux pour résorber celle-ci, ils finiront par céder leur place de dominant, il est vrai, à des régimes plus autoritaires sur le papier (Chine par exemple). Mais dans les faits, ce libéralisme ne ressemble-t-il pas de très près aux régimes totalitaires extrêmistes, que l’on se place du côté droit ou du côté gauche ? Le Viet-Nam, l’Irak, l’Afghanistan … et l’Iran s’ils en avaient encore les moyens (je passe sous silence les plus « petites » guerres (Cuba, Nicaragua, etc) : tout est bon pour mettre la main sur les ressources de la planète et sur les endroits stratégiques sans lesquels la mise-en-oeuvre de l’impérialisme, de la domination sans partage, est impossible. « L’homme est un loup pour l’homme », c’est banal comme expression mais tellement exact : alors préparons-nous à accueillir de nouveaux dominants, préparons nos enfants à communiquer avec eux car, malheureusement, l’Europe fera partie des vassaux, grâce à cette mascarade nommée Union Européenne. Divisée, cette euro-zone appelée communauté ne ressemble qu’à une alliance de Nantis, celles et ceux qui s’entendent pour nous exploiter, nous, les citoyens, les « gentils cons » qui croient que les professionnels de la politique travaillent pour notre bien-être. Sartre écrivait « Elections, piège à cons », iln’y a rien de plus vrai, et Hollande nous en donnera une nouvelle preuve (vous voyez que je tape dans la gauche depuis que la droite s’est ramassée, je suis apolitique, libéral-socialo-écologiste, un parti qui n’existe pas dans les faits, mais que ntous nous défendrions si nous avions conscience de ce qui se prépare.

Chacun vaque donc à ses petites occupations nombrilistes (ou à sa survie) en pensant que jamais la crise ne le touchera (en espérant vivre un jour de plus), et puis un jour, votre conjoint se retrouve sur le carreau, vos enfants ne trouvent pas de boulot ou se retrouvent chez les flics car ils ont fumé un joint ou se sont faits prendre bourrés comme des coings sur la voie publique. Le lendemain, c’est au tour du bourgeois de se rendre compte que l’argent ne rentre plus car ces salauds de pauvres ne paient plus, ils sont rincés, pressés comme des citrons et aucun jus n’en sort plus … on a beau presser, c’est la sécheresse, exactement comme les effets d’une déforestation perpétuelle (mais tout a une fin, la forêt amazonienne comme le capitalisme). Alors, ce moment fait réagir l’élite qui se sent à son tour menacée, et un pouvoir autoritaire et rassurant émerge comme un tsunami, du genre vague bleue.

Il n’y a plus de saison ma pauvre dame, le monde marche sur la tête ! Mais nous en faisons tous partie, et nous-mêmes, vous et moi, tout le monde, nous avançons la tête à l’envers vers le grand mur virtuel du capitalisme en croyant que nos airs-bags nous sauveront la vie. Naissance, vie, mort, renaissance, le cycle infernal de la vie … au mauvais endroit au mauvais moment, nous avons une mission à remplir, nos enfants et leurs petits-enfants aussi, c’est urgent et les autruches ont trop souvent la tête dans le sable, réveillons-nous !

Concernant les problèmes de dettes étatsuniens, qui ressortiront sans doute après les élections de novembre (une donnée importante qui me fait dire que le krach boursier suivant lui sera postérieur), vous pouvez lire cet article : je n’aime pas les agences de notation, mais ce que dit Fitch est tellement vrai …

LA FIN DES VRAIS PRODUITS DE LA MER, C’EST POUR QUAND ?

Tant que je suis parti dans le réalisme de notre siècle (et non dans le pessimisme, si tout le monde s’y mettait, il y aurait des solutions, mais il nous faudra les imposer à celles et ceux qui se croient au dessus de tout, et ils nous diront merci plus tard en mettant des fleurs sur nos tombes), je poursuis, seulement pour vous inciter à ne RIEN JETER EN DEHORS DES CIRCUITS DE TRAITEMENT DES DECHETS !

Depuis que l’homme existe, il s’entretue, se pourfend, se jalouse, viole, ment, se prend pour les Dieux qu’il a créés, empoisonne son voisin, son enfant … c’est la nature humaine et nous n’y pouvons pas grand chose. Par contre, lorsque le monde sera transformé en poubelle géante et que la biodiversité ne sera plus suffisante pour nous amener l’air, l’eau et la lumière, seuls éléments indispensables à notre survie, nous aurons disparu corps et bien.

Ouvrez ce lien, lisez, regardez les videos qu’il contient, et faites passer le message : individuellement, petit à petit, on pourra peut-être renverser le paquebot de la pourriture, déjà lancé à fond sur son erre. Il est temps de pousser à fond sur la pédale de frein

LE DOW-JONES CONSOLIDE EN SOIREE, MAIS GAGNE ENCORE UN PEU DE TERRAIN (12460.96 POINTS ET +0.37%)

Nous verrons demain si le CAC40 a échoué sur la résistance des 3100 points de façon durable, toujours est-il que cette résistance a repoussé les prix, avec une clôture à 3071 et un cours CFD à 3057 points vers 22h20 (je suis en retard !). Je ne rachèterai rien au PEA jusqu’à nouvel avis, considérant que l’amas de mauvaises nouvelles tombées ces derniers jours sur le front de la macro-économie mondiale sont susceptibles de plomber les profits des multinationales dans les mois et trimestres à venir, QE3 et injections massives des banques centrales ou non. Certains pensent que le marché a déjà pris en compte les futurs résultats des sociétés : pour ma part, je préfère rester sur la défensive tellement les chiffres sont énormes (chômage et dettes publiques/privées) – tant qu’une destruction créatrice ne sera pas constatée (faillites bancaires ou changement de paradigme sans doute dans une grande douleur), j’adopterai ce comportement d’extrême prudence comme depuis janvier 2008.

Ce soir, le Boss a réussi a gagner 0.37% après la forte hausse d’hier et cote sur le PPj valide demain (12475/80 pour un CFD à 12485 vers 22h30) : le suspense est maintenu pour la journée de demain, qui sera pauvre en statistiques —> attentisme possible à quelques jours des moments que le monde entier attendent : l’élection grecque de la mi-juin, le G20 de Mexico des 18 et 19 juin, et la réunion des huiles européennes à la fin du mois … on nous a dit que l’Europe présenterait une solution politique forte cette semaine, c’était encore un gros baratin – ça négocie à mort car personne ne veut régler la facture et on se rend bien compte que l’austérité a atteint ses limites – alors, prendront-ils l’argent là où il se trouve ? Bien-sûr que non, ils sont tous potes, des médias aux politiques avec les maîtres de la finance au dessus d’eux …

Vous pouvez lire ce papier de F.Leclerc paru ce matin pour avoir l’avis objectif d’une personne qui n’a pas un sou sur les marchés (pas de conflit d’intérêt) – et je citerai ce paragraphe de Mr Lordon, pour celles et ceux qui n’ont pas lu les 20 pages contenues dans cet article dont j’ai diffusé le lien hier soir sur le blog :

 » Pour le reste, il y a des résistances doctrinales faciles à comprendre : la finance, par exemple, ne désarmera jamais. Elle dira et fera tout ce qu’elle peut pour faire dérailler les moindres tentatives de re-réglementation. Elle y arrive fort bien d’ailleurs ! Il n’est que de voir l’effrayante indigence des velléités régulatrices pour s’en convaincre, comme l’atteste le fait que, depuis 2009, si peu a été fait que la crise des dettes souveraines menace à nouveau de s’achever en un effondrement total de la finance internationale. Pour le coup, rien n’est plus simple à comprendre : un système de domination ne rendra jamais les armes de lui-même et cherchera tous les moyens de sa perpétuation.
On conçoit aisément que les hommes de la finance n’aient pas d’autre objectif que de relancer pour un tour supplémentaire le système qui leur permet d’empocher les faramineux profits de la bulle et d’abandonner les coûts de la crise au corps social tout entier, forcé, par puissance publique interposée, de venir au secours des institutions financières, sauf à périr lui-même de l’écroulement bancaire. Il faut simplement se mettre à leur place ! Qui, en leur position, consentirait à renoncer ?
Il faudrait même dire davantage : c’est une forme de vie que ces hommes défendent, une forme de vie où entrent aussi bien la perspective de gains monétaires hors norme que l’ivresse d’opérer à l’échelle de la planète, de mouvementer des masses colossales de capitaux, pour ne rien dire des à-côtés les plus caricaturaux, mais bien réels, du mode de vie de l’« homme des marchés » : filles, bagnoles, dope. Tous ces gens n’abandonneront pas comme ça ce monde merveilleux qui est le leur, il faudra activement le leur faire lâcher.
C’est en fait à propos de l’État que le mystère s’épaissit vraiment. Préposé à la socialisation des pertes bancaires et au serpillage des coûts de la récession, littéralement pris en otage par la finance dont il est condamné à rattraper les risques systémiques, n’est-il pas celui qui aurait le plus immédiatement intérêt à fermer pour de bon le foutoir des marchés ?
Il semble que poser la question ainsi soit y répondre, mais logiquement seulement, c’est-à-dire en méconnaissant sociologiquement la forme d’État colonisé qui est le propre du bloc hégémonique néolibéral : les représentants de la finance y sont comme chez eux. L’interpénétration, jusqu’à la confusion complète, des élites politiques, administratives, financières, parfois médiatiques, a atteint un degré tel que la circulation de tous ces gens d’une sphère à l’autre, d’une position à l’autre, homogénéise complètement, à quelques différences secondes près, la vision du monde partagée par ce bloc indistinct.
La fusion oligarchique – et il faudrait presque comprendre le mot en son sens russe – a conduit à la dé-différenciation des compartiments du champ du pouvoir et à la disparition des effets de régulation qui venaient de la rencontre, parfois de la confrontation, de grammaires hétérogènes ou antagonistes. Ainsi par exemple a-t-on vu, aidé sans doute par un mécanisme d’attrition démographique, la disparition de l’habitus de l’homme d’État tel qu’il a pris sa forme accomplie au lendemain de la seconde guerre mondiale, l’expression « homme d’État » n’étant pas à comprendre au sens usuel du « grand homme » mais de ces individus porteurs des logiques propres de la puissance publique, de sa grammaire d’action et de ses intérêts spécifiques.
Hauts fonctionnaires ou grands commis, jadis hommes d’État parce que dévoués aux logiques de l’État, et déterminés à les faire valoir contre les logiques hétérogènes – celles par exemple du capital ou de la finance –, ils sont une espèce en voie de disparition, et ceux qui aujourd’hui « entrent dans la carrière » n’ont pas d’autre horizon intellectuel que la réplication servile (et absurde) des méthodes du privé (d’où par exemple les monstruosités du type « RGPP », la Révision générale des politiques publiques), ni d’autre horizon personnel que le pantouflage qui leur permettra de s’intégrer avec délice à la caste des élites indifférenciées de la mondialisation.
Les dirigeants nommés à la tête de ce qui reste d’entreprises publiques n’ont ainsi rien de plus pressé que de faire sauter le statut de ces entreprises, conduire la privatisation, pour aller enfin rejoindre leurs petits camarades et s’ébattre à leur tour dans le grand bain des marchés mondiaux, de la finance, des fusions-acquisitions – et « accessoirement » des bonus et des stock-options.
Voilà le drame de l’époque : c’est qu’au niveau de ces gens qu’on continue à appeler – on se demande pourquoi tant leur bilan historique est accablant – des « élites », il n’y a plus nulle part aucune force de rappel intellectuelle susceptible de monter un contre-discours. Et le désastre est complet quand les médias eux-mêmes ont été, et depuis si longtemps, emportés par le glissement de terrain néolibéral ; le plus extravagant tenant à la reconduction des éditorialistes, chroniqueurs, experts à demi vendus et toute cette clique qui se présente comme les précepteurs éclairés d’un peuple nativement obtus et « éclairable » par vocation.
On aurait pu imaginer que le cataclysme de l’automne 2008 et l’effondrement à grand spectacle de la finance conduirait à une non moins grande lessive de tous ces locuteurs émergeant en guenilles des ruines fumantes, mais rien du tout ! Pas un n’a bougé !
Alain Duhamel continue de pontifier dans Libération ; le même journal, luttant désespérément pour faire oublier ses décennies libérales, n’en continue pas moins de confier l’une de ses plus décisives rubriques, la rubrique européenne, à Jean Quatremer qui a méthodiquement conchié tous ceux qui dénonçaient les tares, maintenant visibles de tous, de la construction néolibérale de l’Europe. Sur France Inter, Bernard Guetta franchit matinée après matinée tous les records de l’incohérence – il faudrait le reconduire à ses dires d’il y a cinq ans à peine, je ne parle même pas de ceux de 2005, fameuse année du traité constitutionnel européen… L’émission hebdomadaire d’économie de France Culture oscille entre l’hilarant et l’affligeant en persistant à tendre le micro à des gens qui ont été les plus fervents soutiens doctrinaux du monde en train de s’écrouler, parmi lesquels Nicolas Baverez par exemple, sans doute le plus drôle de tous, qui s’est empressé de sermonner les gouvernements européens et de les enjoindre à la plus extrême rigueur avant de s’apercevoir que c’était une ânerie de plus. Et tous ces gens plastronnent dans la plus parfaite impunité, sans jamais que leurs employeurs ne leur retirent ni une chronique ni un micro, ni même ne leur demandent de s’expliquer ou de rendre compte de leurs discours passés.
Voilà le monde dans lequel nous vivons, monde de l’auto-blanchiment collectif des faillis.« 

PEA, actions moyen-long terme : je ferai une image du compte ce week-end, plus d’ordre en cours jusqu’à nouvel avis – composition du compte et arrêté à 14h35 tout à l’heure —> cliquez ICI.

ANALYSE RAPIDE POINT-PIVOT POUR DEMAIN

Analyse DOW : 12475/480 PPj – 12490 CFD vers 22h45, la prédisposition en intraday est haussière, à confirmer demain, l’écart est faible avec PPj – résistances à 12535/12555 (R1j/plus haut de ce jour) – au dessus des 12560, cible à 12615/12620, voire en cas de rallye de fin de semaine, R3j/PPm à 12675/12685) – supports à 12450 et 12400 – sous 12390, probable retour dans la zone 12340/12275 (S2j/PPh) – en dessous, ce serait le retournement du vendredi vers les 12260/12220, départ du rebond d’hier.

Analyse CAC40 : 3080 PPj – contrairement au DOW, c’est baissier en intraday avec une cible S1j déjà touchée au CFD (3055) – sous les 3050, 3035/40 voire 3015 seraient les cibles – ne pas négliger un vendredi noir après le mercredi rose —> sous 3010, 2990/2975 serait l’objectif.

Si on repasse au dessus des 3080, retour vers la résistance du jour 3095/3105 – au dessus des 3110, probable montée vers 3120/25 voire 3135 – attention au scénario tout rose —> si on clôture au dessus des 3135, un nouveau signal haussier de court terme serait lancé, cible de fond en zone 3300 points dans le courant de la saison printemps-été.

COURBE UT JOUR CAC CFD A CE SOIR

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Projet musique (2011, arrêté cette année momentanément, mais j’ai plein de nouvelles compositions à mettre en boîte d’ici à la fin de l’année – elles iront habiter sur mon futur blog perso 🙂 : voici un lien sur lequel vous pourrez écouter six modestes compositions personnelles, merci pour vos éventuels et pertinents retours critiques (redaction@nouveautrader.com) – une rubrique musique sera ouverte sur le site dans le courant du second semestre, pour compléter l’espace détente et satisfaire un objectif personnel de longue date.

Prochain RDV demain avant l’ouverture.

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AUTO-PUBLICITE SURPRISE : NT DANS LA PRESSE VIRTUELLE !

A ma grande surprise, le magazine virtuel Trader’s Mag m’a consacré un article en page 25 pour son numéro de juin, pour le lire, cliquez ICI

Vous remarquez de suite en tant qu’habitué du blog, que la personne (une professionnelle c’est certain) qui a écrit ce papier a parcouru tous les menus principaux du blog (en haut de la page d’accueil), et en fait une parfaite description, je la remercie d’ailleurs chaleureusement de n’avoir rien omis … ou presque, mais c’est de mon fait !

Le pied de page, la vie du blog qui fait partie intégrante du caratère unique de NT ! La vie en Grésigne, les analyses fondamentales des valeurs du CAC40 et de quelques autres (SRD, Next CAC, des grosses valeurs uniquement), les jeux et le bon vin de Gaillac, le potager, et ces incitations à venir goûter la qualité de la vie de nos campagnes, du sud-ouest ou d’ailleurs ! internet permet tout, le trading permet tout !

Pour apprendre le début de quelque chose de concret sur la gestion d’une stratégie complète PP, vous donnez 100 euros en précisant « formation PP », et je vous prends par skype une fois tous les 15 jours pendant 6 mois s’il le faut, avec temps réel sur le marché + devoirs à faire à la maison, comme à l’école professionnelle, en alternance. Pour celles et ceux qui souhaitent se diriger directement vers des partenaires de qualité, indépendants et professionnels, qui veulent gagner du temps, NT dispose d’un réseau tout ce qu’il y a de sérieux, renseignez-vous !

Un grand merci à Trader’s Mag d’avoir mis une petite lumière sur ce blog de campagne, vous aurez le plaisir de goûter un peu de Gaillac du terroir voisin – prochain RDV après la clôture pour une image du PEA,protégez les gains, si ce n’est déjà fait !! Je répète MARCHE POURRI ET DANGEREUX. Sous 12470, vente ! Au dessus des 12535/12550 bis repetita, achat !

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Rappel, pour l’anniversaire des 6 ans de NT le 15 mai 2012, incitation à l’échange constructif :

En attendant le possible impact sur la zone des 3000 points, je vous propose un jeu participatif qui durera jusqu’à fin mai : à l’occasion des six ans de NT, j’aimerais refaire vivre un forum mais je n’en ai ni les moyens, ni le temps – pour les investisseurs de moyen-long terme notamment mais aussi les spéculateurs, les analystes actions ou gestionnaires de comptes spéculatifs ou de long terme sur actions, qui sont désireux d’échanger leurs vues et leurs travaux boursiers, et qui seraient motivés par la création et la prise en mains d’un forum NT, la suite vous concerne.

Le projet consiste à réunir des personnes actives sur le marché, qui estiment qu’elles peuvent en apprendre aux autres, mais aussi en apprendre des autres. Le but : proposer un forum objectif et diversifié, avec une compétence reconnue, au moins pour la régularité des résultats et la gestion du risque sur les investissements directs en actions, les deux seules choses nécessaires et indispensables pour espérer voir son expérience boursière se poursuivre au delà du prochain krach – il arrive toujours à un moment (peu importe quand), et il élimine à chaque fois de nombreux investisseurs (parfois pour une simple hésitation à prendre des profits ou à vendre à peu de pertes, ou au contraire à cause d’un achat massif d’impulsion, ou encore un comportement déréglé par la pression d’une chute ou le confort parfois éphémère d’un gain latent important celui qui n’a pas su prendre des bénéfices avant ou qui s’est investi sur les mauvaises valeurs en se laissant couler ensuite, d’années en années ….) – peu importe la cause de l’échec, ses racines sont semblables – échanger le plus objectivement possible et faire part de ses expériences vécues, de ses stratégies de gestion, voire de sa gestion dans le temps réel (comme je le fais moi-même) ; voici ce qui serait une source de progrès rapide, ensemble, de bon nombre de lecteurs de NT.

Comme vous le savez, tout projet demande du temps et de l’argent (un peu car c’est virtuel et non un forum réel, avec tables chaises et fauteuils) : les personnes désireuses de participer à l’aventure peuvent me présenter brièvement leurs idées et leurs souhaits, et même investir dès maintenant dans leur cotisation annuelle, dont ils décideront le montant eux-mêmes. En fonction des promesses écrites par e-mail (redaction@nouveautrader.com) et des désirs de chaque investisseur, j’obtiendrai une moyenne annuelle qui sera le futur prix de souscription pour les nouveaux entrants une fois le forum mis-en-ligne et dotés des premiers contenus – ils rembourseront ainsi les créateurs et modérateurs de ce forum NT : la suite, en cas de succès, sera à décider entre nous, les instigateurs de ce projet – je sais déjà que vous pouvez être au moins vingt dans ce profil (les formations PP me font découvrir des actionnaires de qualité, et les lecteurs habitués se reconnaitront facilement), maintenant, si je n’ai personne, ce sera pour 2013 ou 2014, j’ai tout mon temps – il s’agit d’une proposition participative car seul je ne peux pas faire plus que ce que je fais aujourd’hui, mes capacités d’investissement et de temps sont au « taquet » 🙂