Silence,
14H00
Les 3 articles déjà publiés ce week-end :
Indice : la croisée des chemins ?
Période printemps-été en images : top-départ !
Les saveurs du printemps
Odeurs d'herbe fraîchement coupée, petites fleurs sauvages au détour des chemins, arbres bourgeonnant et oiseaux chantants, le prélude à la "belle saison" est très agréable cette année : dans la Grésigne et ses alentours, la randonnée s'impose aux visiteurs qui souhaitent redécouvrir ce qu'est la quiétude et l'accompagnement sonore délicat de la nature qui s'éveille … on oublie l'existence du béton, du pétrole, de l'autoroute et de toutes les nuisances propres au développement économique à vitesse exponentielle choisis par l'humanoïde à oeillères.
Ici, on ne vit pas sur des bases de cycles de profits et d'objectifs pécuniaires – ici, on vit en compagnie du cycle naturel des saisons : hiver-printemps-été-automne et ainsi de suite – le printemps, c'est la saison du potager, qui va s'étaler jusqu'à fin septembre : je n'ai plus qu'à enlever les mottes et ratisser la surface de culture et on pourra démarrer un peu de radis et quelques carottes – je sèmerai aussi en place quelques rangées de serpolet et de diverses fleurs : c'est joli, surprenant et les insectes en rafollent, de quoi faire des photos cet été 🙂
Derrière le tas de bois, à gauche, on aperçoit la surface potagère : un vrai paradis pour notre petite famille, je publierai une photo de la surface une fois préparée, sans doute dans le courant de la semaine prochaine, y'a en gros 4/5 heures de travail, 100% manuel. Le chêne commence à verdir, le framboisier aussi, l'herbe n'en parlons pas, déjà 6 heures de tonte sur les 15 derniers jours de mars … silence, ça pousse !
Dans quelques jours, vous aurez l'occasion de voir deux nouveaux-nés dans cette rubrique, et une nouvelle entrante dans la famille : il s'agit de chevaux, l'endroit où mon épouse monte et où mon fils prend des cours – même sans essence, on pourrait se déplacer en cariole, j'ai mes deux cochets 🙂
Prochain RDV demain matin avant 8h30 – en attendant que mon épouse puisse reconduire, je me tape les allers-retours à l'école, comme au bon vieux temps (qui reviendra un jour) !