MAJ DE 10H41 : 4177 à Paris, on approche de la résistance suivante (4180/4190 R1h/R2j), tandis que le DOW CFD remonte à 16227, presque 100 points de mieux que PPj – les voyants sont repassés au vert mais je rappelle qu’il faudra repasser au dessus des 4220 pour envisager une levée de l’alerte baissière de la première partie de février.

Je ne reviendrai qu’à 15h00, je stoppe ici après une belle matinée, et consacrerai la journée à des tâches administratives et à mon fils (c’est mercredi) – je garde mes actions, toujours à 50% investis pour le moment.

MAJ DE 10H05 : 4158 c’est un test du haut d’hier – au dessus des 4160, l’objectif deviendrait 4180/4190, à suivre …

MAJ DE 9H09 : 4125 points après un bas à 4102 avant l’ouverture, la tendance intraday redevient haussière avec un début de séance hésitant … il faudra doubler 4135/4160 pour envisager la poursuite du rebond, tandis qu’un repli sous 4085 en sonnerait le glas …

Puycelsi, le mercredi 17 février 2016

8h09

CAC40 : sous PPj (4115/4120) – résistance majeure inchangée en zone S1m/R1j (4135/50)

DOW-JONES : termine au plus haut du jour (16196.41, +1.39%) mais retombe vers PPj dans la nuit (16135/16145) et cote en dessous à 8h00

7h39 : repli nocturne des indices après une hausse de 1.39% hier à NY – à 4115 (CAC) et 16130 (DOW), on n’est plus très loin d’un passage en tendance baissière intraday – après le rebond récent, les opérateurs pourraient attendre la FED de ce soir (minutes de la dernière réunion de politique monétaire) pour s’engager clairement dans un sens ou dans l’autre.

8h07 : 4106 et 16117, la tendance intraday devient baissière, attention an cas de rupture du plus bas d’hier (voir analyses des indices en bas de cette même page).

Rappel d’il y a cinq semaines : je recommande la prudence pour tous les investisseurs moyen-long terme en actions, choisissez bien vos chevaux pour faire la course, diversifiez au maximum, et conservez toujours des liquidités pour le jour « où plus personne n’en voudra ». Pour disposer d’un choix d’entreprises dotées de bons fondamentaux, n’oubliez pas de commander la sélection NT100, cotée sur le blog depuis sa création début 2014 : cet indice personnel a vécu 18 changements de valeurs depuis 2 ans, soit une importante stabilité sur les 100 qui le composent. Sa performance est de +10.95% en 25 mois et demi, contre -4.31% pour le CAC40.

Faites un don de 50 euros au blog en notifiant « NT100 » dans le commentaire, et vous recevrez cette liste avec tous les principaux ratios financiers que j’utilise pour sélectionner mes valeurs.

Vous pouvez également devenir membre du Club NT, qui reflète mes achats et ventes d’actions au sein d’un PEA via envois de Newsletters 3 fois par semaine, contre 150 euros par semestre (75 euros un trimestre pour essayer), ou 250 euros pour l’année complète.

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QUEL EST LE REVENU MOYEN D’UN ELEVEUR DE BOVINS EN FRANCE ?

La négociation « TAFTA » entre USA et Europe pourrait aboutir à une libéralisation des importations de viande bovine américaine en France : on bouffe déjà pas mal de saloperies, mais si cet accord aboutissaient en l’état, ce serait le déferlement de viande « OGM et médicamenteuse » en provenance des USA, qui élèvent leurs animaux dans des fermes géantes de plusieurs dizaines de milliers de têtes, l’équivalent du poulet en batterie. Aujourd’hui, un éleveur français gagne en moyenne 10.000 euros par an, oui, vous avez bien lu, MOINS QUE LE SMIC pour nourrir la population ! Qu’en sera-t-il de l’avenir de cette filière si les USA ont le droit de rentrer sans aucune contrainte ? Lisez cet article qui explique les enjeux de cet accord transatlantique qui amplifiera le processus de désertification des campagnes et menacera l’emploi d’une part, et la qualité d’autre part, juste pour que les grands groupes de distribution se gavent un peu plus, au détriment de notre santé et de l’avenir économique déjà bouché d’une France où tout se barre en couilles, pardonnez-moi l’expression … à l’image de l’Europe, cette zone économique qui tue nos traditions et notre qualité de vie, et qui, peu à peu, se vend contre une bouchée de pain au grand capital.

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LA RETRAITE : QUELLE RETRAITE ?

Et voici que mes anticipations se réalisent, remarquez, ce n’était pas compliqué à prévoir au vu de la faillite de notre système, pas que des retraites d’ailleurs. Ce rapport préconise un allongement de la durée du travail à 43 ans de cotisations et l’âge minimum de départ à 63 ans : tandis que les propriétaires de robots et logiciels augmentent de façon impressionnante leurs revenus, les employés et salariés voient leur pouvoir d’achat se casser la figure et leur risque de tomber au chômage augmenter de façon inquiétante. On nous dit qu’il faut faire des études pour vivre une belle carrière professionnelle, alors faisons les comptes : quelqu’un qui fait 5 ans d’études après le BAC arrive sur le marché du travail à 23 ans, auxquels j’ajoute 43 = 66 ans ! C’est déjà supérieur de trois ans à la future durée légale du travail. Quand on sait que le taux d’emploi des plus de 55 ans est d’environ 50% (« Vous êtes trop vieux monsieur, votre candidature ne nous intéresse pas ! »), n’est-ce pas de la pure démagogie d’affirmer qu’on va sauver le système en travaillant plus longtemps ?

Petit retour dans ma jeunesse : lorsque j’ai choisi de faire des études, en 1981, il fallait cotiser 37.5 années pour avoir droit à sa retraite à taux plein, et l’âge minimum de départ était fixé à 60 ans. J’avais simplement fait mon calcul : sortie des études à 23 ans + 37.5 ans de cotisations = 60 ans et demi, parfait donc, en accord avec l’âge minimum de départ. Trente-cinq ans plus tard, les règles ont donc changé : 23+43 = 66 ans et je ne parle pas du taux de la retraite et de son mode de calcul, moins avantageux d’une dizaine de % qu’en 1981 et ce n’est pas fini, ça va continuer à descendre – de mon point de vue, ces changement dictés par des gens qui bénéficient de régimes spéciaux et qui nous mettent à la faillite avec leur gestion catastrophique de nos impôts, taxes et cotisations, ne sont pas acceptables.

La solution aurait été de taxer les robots et les logiciels pour financer les erreurs de gestion de ces politiques qui ne savent pas faire autre chose que du déficit depuis 1974, ah les chocs pétroliers ont bon dos, l’allongement de la durée de vie aussi. Les énormes gains de productivité obtenus grâce aux progrès technologiques ne profitent qu’à une minorité (toujours les propriétaires des robots et des logiciels) qui, de surcroît, défiscalisent leurs profits via les paradis fiscaux (qui gèrent, selon les estimations, plus de 20.000 milliards d’euros). Ainsi, les citoyens-salariés se prennent la double-peine : combler les trous du budget de l’état dont ils ne sont pas responsables, et payer à la place des voleurs qui planquent leur revenus « au paradis ». Pourtant, dans les années 80, nos professeurs d’économie nous expliquaient que le progrès technologique nous permettrait logiquement de travailler moins (puisque la machine le fait à notre place) : le résultat final aboutit au contraire car les fruits n’ont pas été partagés, c’est même tout le contraire qui se produit …

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Actions : les sélections 2016 se tiennent mieux que l’indice (mise-à-jour du 12.02.2016).

Je rappelle que je dispose d’environ 50% de cash pour vivre un éventuel krach, ce qui est le minimum requis sur PEA, même avec une majorité d’entreprises dotées de bons fondamentaux (dettes faibles ou inexistantes, marge opérationnelle positive) et une extrême diversification (40 valeurs différentes dans mes portefeuilles).

« Petite sélection » rendement 2016/2020 : voir cet article.

RAPPEL : après 10 ans d’existence, NouveauTrader n’a que rarement fait appel à ses lecteurs, et le jour où il « ose » le faire, la réaction est plus que mitigée puisque 14 personnes (MERCI !) m’ont soutenu alors que 1000 visiteurs uniques passent chaque jour chez moi, sans frapper ni dire merci pour la plupart. Les revenus publicitaires du blog ont diminué de 75% en trois ans, quel chef d’entreprise (même « micro ») ne mettrait pas la clé sous la porte ? Moi ! Toutefois, si vos contributions n’arrivent pas, si les membres du Club NT n’augmentent pas, si les candidats à la formation sont absents, je réduirai les coûts au 15 mai, jour anniversaire des 10 ans de NT, en supprimant les flux pour alimenter les tableaux points-pivots et ne rédigerai plus qu’un seul article par jour (je consacrerai mon temps au trading pour pouvoir manger, et trouverai un job à mi-temps pour pouvoir valider mes quatre trimestres de retraite par mois, le chiffre d’affaire du blog en 2015, pour la première fois, m’a fait perdre un trimestre).

C’est assez ahurissant de voir les gens s’abonner à des services concurrents qui les ruinent mais dont l’offre est promesse d’argent facile et de richesse : dire la vérité sur la bourse et être honnête ne rapporte pas, mais je ne deviendrai pas un beau parleur voire un escroc, c’est au dessus de mes forces …

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CLUB NOUVEAUTRADER : investissement moyen-long terme sur actions françaises depuis le 1er janvier 2014

L’historique des opérations terminées entre le 1er janvier 2014 et le 30 juin 2015 (sans tous les noms des valeurs, pour ne pas dévoiler l’essentiel du NT100), est consultable dans cet article.

Les 150 euros de cotisation semestrielle (soit 25 euros par mois) permettent de suivre la gestion d’un portefeuille d’actions via envoi de Newsletters (270 pour le moment) contenant des ordres programmés au mois, à la semaine ou de la veille pour le lendemain. Le type de gestion proposée correspond au profil « investisseur moyen terme occupé en journée au travail ou à autre chose que la bourse ».

Exposition du portefeuille Club NT : 47.19%

Diversification du portefeuille : 32 valeurs différentes

Taille moyenne de chaque ordre (accessible à tous) : 600.00 euros

Frais de courtage : 0.99 euro par ordre, hors TTF éventuelle

Nombre d’ordres d’achat exécutés : 161

Nombre d’ordres de vente exécutés (opérations terminées) : 119 dont 86 gains et 33 pertes

Plus-value moyenne nette de courtage et TTF par opération terminée : +4.63%

Plus-value nette réalisée dividendes inclus : 3.937,92 euros

Performance brute sur capital utilisé depuis le 1er janvier 2014 (relevé du 16.02.2016 à 17h35) : -6.54% (sur capital disponible -3.08%), CAC -4.31%

Si vous êtes intéressé(e), cliquez ICI.

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SUIVI DU TEST : ACHAT DOW, VENTE CAC (6h29 mercredi 17/02/2016) – JOUR 391

DOW : achat 16865 points, soit -4.35% (16131)

CAC40 : vente 4333 points, soit +5.01% (4116)

Différentiel brut : +0.66% – l’arbitrage était repassé négatif il y a 46 semaines, et après un record dans le rouge à -10.60% en avril 2015, revient dans le vert depuis le 9 février 2016.

Depuis 390 séances, après avoir donné des extrêmes à +2.60% pour le DOW, puis pour le CAC40, l’arbitrage est reparti dans l’autre sens, avec un nouveau record à +5.64% au matin du 13 octobre 2014, battu le 30 octobre (+6.61%), le 5 novembre (+7.26%), le 7 novembre (+7.41%), le 12 novembre (+7.64%), le matin du 13 novembre (+7.69%) et +8.60% du même jour à 14h37 – après consolidation entre +4 et +5%, la performance est remontée dans la semaine du 8 décembre, et un nouveau record a été battu le 15 décembre au soir (+9.39%), puis le 16 en début d’après-midi à +10.43% – cela matérialise simplement la différence entre les macro-économies des deux zones, que tout le monde connait – MAJ du 15 janvier 2015 : une différence actuellement modulée par la chute de la monnaie unique contre dollar – MAJ du 22 janvier : l’équilibre revient après l’annonce du QE, mais je ne change pas d’avis, les USA sont mieux armés pour la suite – le record à la baisse de l’arbitrage (-2.60%) est battu le 26.01.2015 (-3.46%), puis le 27 (-3.82%), puis le 29 (-4.48%), puis -4.56% le 27.02.2015, puis le 04.03.2015 (-4.64%), puis le 05.03.2015 (-4.95%), l’euro cote 1.1052$, et encore le 6 mars à 23h15 (-6.45%) puis le 9 mars (-6.53%), puis le 11 mars en pré-ouverture (-6.57%), puis en début d’après-midi du même jour (-7.89%), et le soir (-8.69%) l’euro cote 1.0540$ – le record est à nouveau battu le 27 mars au soir, à -9.03% alors que l’euro a pourtant rebondi à 1.0887$ ; puis -9.05% au 30 mars 2015 vers 13h35 ; puis le 1er avril à 10h45 -9.44%, l’euro contre dollar vaut 1.0725, et à 15h58 à -9.82% … le 9 avril 2015 à 13h34, nouveau record à la baisse à -10.37%, l’euro cote 1.0763$, puis -10.60% le même soir, l’euro vaut 1.0664$ … le 9 février 2016, l’arbitrage repasse dans le vert, le DOW se comportant mieux que le CAC avec la remontée de l’euro contre dollar à 1.13, à suivre …

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PREPARATION DE LA SEANCE DE MERCREDI (17.02.2016)  – ANALYSE CAC40/DOW

Programme du jour : prix à la production, mises en chantier et permis de construire (USA, 14h30), production industrielle (USA, 15h15), minutes de la FED (20h00)

CAC40 : PPj 4415/20 – le contrat cfd cote 4120 vers 6h13 – tendance intraday neutre-haussière avec les 4150/4160 à franchir pour viser 4180/90 et 4220 – au dessus des 4225, 4255/60 serait l’obkectif – au delà, hausse possible jusqu’aux 4360/65.

En cas de repli sous 4110, les 4085 devront tenir sous peine de revenir à 4075, voire 4045/50 et 4035 – sous 4035, 4005/10 et 3975/80 seraient visés – en dessous, retour probable vers le dernier plus bas, à 3890/95, voire 3850/55.

DOW : PPj 16135/16145 – le contrat cfd s’échange à 16140 vers 6h15, tendance intraday neutre avec les 16195/200 à franchir pour viser 16255/60 et 16280/85 – au dessus des 16290, les objectifs deviendraient 16315/20 et 16360 – au dessus des 16360, une hausse vers 16440/16455 serait possible.

En cas de repli sous 16130, les objectifs deviendraient 16100, 16060/16075 et 16010/15 – sous 16010, 15975 et 15950 seraient visés – en dessous, 15910/15 serait l’objectif – sous 15910, la zone PPh (15880/15895) devra tenir, sous peine d’une rechute vers 15745/15770.

Prochain RDV en fonction des événements, au plus tard vers 10h30.