Dimanche 21 juillet 2013, 9h23
Déjà publiés ce week-end :
Le trading diversifié sur devises
Un potager abandonné, une perte acceptée
La nature peut se comparer au Boss : au final, c’est toujours elle qui a raison.
Avec un printemps des plus pourris (c’est comme le DOW, record historique, mais dans l’autre sens), je n’ai jamais pu rattraper les heures de boulot non effectuées au potager pour cause de pluie et de froid. En outre, le peu que j’avais semé ou mis en terre ne s’est développé, logiquement, qu’à la vitesse d’un escargot. Du coup, comme j’avais un surcroît de travail avec la bourse (Salon à Paris, formations et webinaires, travail sur stratégie devises) et que la saison serait dans tous les cas ratée, je n’ai pas fait grand chose pour améliorer la pauvre situation : une perte acceptée avec le sourire, face à des éléments naturels qui sont plus forts que nous. J’ai donc « shorté » le potager en 2013, comme le montre cette image de ce dimanche matin : aucune tomate ne serait-ce que rose pâle, des pieds chétifs et des herbes qui passent au travers du lit de paille que je vais reconstituer courant août. Si la météo de l’an prochain est plus clémente, je serai à nouveau « long potager ».
Nous nous contenterons donc de quelques tomates dans trois ou quatre semaines, heureusement que je connais quelques producteurs locaux pour combler le manque !
Il y a deux ans, coup de rétroviseur : la saison 2011 fut la dernière avec un printemps dans les normes, les premières tomates arrivant dans nos assiettes début juillet, comme le montre cette photo du 9 juillet 2011 : la comparaison est facile à faire, c’est tout ou rien depuis quelques années, la nature se met à devenir aussi folle que l’homme, un signe à prendre au sérieux pour l’avenir ou un simple aléa passager ?
Prochain RDV demain matin avant l’ouverture.
