Salvagnac, le mercredi 29 janvier 2021

8h56

ATTENTION, la fin de l’année fiscale, c’est ce soir pour les comptes titres ordinaires – au delà, les gains-pertes réalisés seront comptés sur l’exercice 2022.

Le CAC40 autour de son record absolu (7180/7190)

Le capitalisme a mis à profit (ou organisé) cette crise nommée « sanitaire » pour engranger des milliards et assoir son pouvoir sur ses « obligés » (nous surtout, mais aussi les politiques). Ainsi, la bourse se réjouit d’améliorer son contrôle de la vie économique et sociale réelle via la digitalisation des entreprises et des personnes (qui ne peut vivre sans smartphone ? et dans quelques années avec son QR-CODE complet ?) – il ne s’agit pas ici de savoir si ce sera mieux qu’avant ou pas (la réponse semble si évidente !), mais de savoir quand les marchés se mettront à chuter pour redistribuer les cartes (éliminer les petits porteurs imprudents en leur rachetant des titres en promotion dans la zone du futur plus bas de l’année 2022, ou 2023).

Pour le moment, tous les voyants sont au vert, certains diront « trop verts », ça ne peut que retomber. Je suis assez d’accord mais par quel plus haut passera-t-on avant, et dans combien de temps ce repli conséquent se produira-t-il ? Nul ne le sait sauf une poignée de milliardaires et hauts fonctionnaires, alors il faut continuer à gérer des probabilités.

Je livrerai une analyse simple avec des niveaux supports une fois l’année terminée : le but sera d’être prêt dès que la tendance deviendra baissière, et éviter de paniquer si le CAC devait perdre 10% en une semaine, puis 20% supplémentaires en trois semaines par exemple.

Pour le moment, je conserve 60% d’exposition sur capital de départ avec 45 valeurs différentes (40% cash et 44% de plus-values d’avance).