Image du PEA au 16 juillet 2010
11H50
Point sur le PEA au 16 juillet 2010
Préambule : pour la gestion et la stratégie adoptées sur ce compte réel, cliquez ICI
Performance du CAC40 en 2010 : -11.08%
PEA, partie investie : +12.63% (global : +2.21%)
17 juillet, 11h30 : les prix sont donc revenus vers la zone-support des 3470/3483 points (support technique et gap du 5 juillet dernier), alors que se profile des journées extrêmement riches en résultats d'entreprises, je l'évoquerai ce soir dans l'article habituel consacré à la préparation de la semaine.
Comme vous pouvez le constater, la gestion minimaliste et prudente de ce compte réel, adaptée à mon emploi du temps et à la situation économique difficile que nous vivons, permet de dégager une performance annuelle positive alors même que le marché ne parvient pas à retrouver l'équilibre. Je suis donc encore dans une situation confortable, prêt à affronter le pire s'il devait arriver.
Plan de bataille très simple pour les jours qui viennent : en cas de poursuite de la chute (3470/3450 puis 3400/3250), les titres vendus récemment seront rachetés —> GDF-Suez entre 23.50E et 23.60E – Total : 1X à 37.55E prix maximum, et 1X entre 36.60E et 34.90E – pour le moment, je ne réfléchis pas à une éventuelle diversification et travaillerai uniquement sur les titres déjà détenus – par contre, si on coulait dans la zone 3250/3300, j'envisagerai sans doute de rentrer un nouveau titre (Arcelor à 20E maximum ou Lafarge vers 38.25E) : j'aviserai le cas échéant, et publierai un article en temps réel.
Bouygues, Vivendi et Air Liquide : je conserve et n'effectuerai aucun renfort sur ces trois valeurs au mois de juillet.
PEA |
valeurs |
poids |
prur |
cours |
perf |
/global |
09/10 |
TOTAL |
5% |
28.95 |
38.05 |
+31.43% |
+1.57% |
2010 |
ALIQUIDE |
2.5% |
70.36 |
84.74 |
+20.44% |
+0.51% |
2010 |
GDFSUEZ |
5% |
24.215 |
24.32 |
+0.43% |
+0.02% |
2010 |
BOUYGUES |
2.5% |
30.94 |
30.93 |
-0.00% |
-0.00% |
2010 |
VIVENDI |
2.5% |
16.58 |
17.30 |
+4.34% |
+0.11% |
|
|
17.5% |
|
|
+12.63% |
+2.21% |
Prur (prix de revient unitaire réel) : prix d’achat augmenté du courtage et diminué des dividendes détachés + éventuellement des allers-retours court terme effectués – les dividendes ne sont pas réinvestis mais mis en réserve – cette méthode permet à l’investisseur moyen terme de connaître précisément où en est son retour sur investissement – selon le rythme de ses arbitrages ou allers-retours*, l’investisseur aura, à un moment donné, un prix de revient réel à zéro (sauf faillite de l’entreprise) : alors, il sera titulaire d’un revenu réel régulier, une sorte de retraite – toujours intéressant pour l’avenir sombre sur ce plan, inéluctable.
Les titres éventuellement entre parenthèses, matérialisent le bénéfice réalisé (en réserve), la valeur n’étant plus en portefeuille, dans l’attente d’une nouvelle entrée en fonction des opportunités, à laquelle sera retranchée l’avance prise lors des opérations soldées, pour obtenir le prur.
Détail des opérations : dans les articles précédents de cette même rubrique, mais je vais faire un listing détaillé pendant l'été pour simplifier la vision du visiteur pressé.
Avantage de la gestion préconisée sur ce compte réel : la valorisation n'est jamais descendue dans le rouge depuis le début de l'année, ce qui permet à l'investisseur de garder la sérénité nécessaire pour éviter de se faire rincer par le Boss avec les montées d'adrénaline provoquées par une forte baisse de la valorisation à certains moments "chauds" – la performance serait "boostée" avec des volumes un peu plus importants, mais qui nécessiteraient plus d'interventions, ce que mon planning ne permet pas actuellement …
Prochain RDV avant ce soir pour préparer la semaine prochaine et la séance de lundi.