Puycelsi, le dimanche 5 juillet 2015

8h03

ou « Le rat des villes et le rat des champs« 

ou « Le riche et le pauvre« 

En cette période caniculaire dépourvue de vent, les micro-particules stagnent dans les grandes villes, ce qui engendre une médiocre qualité de vie. En outre, la pollution coûte à l’état une vingtaine de milliards par an, et à la population 20.000 morts prématurés (pendant qu’on inonde le territoire de radars sous couvert de faire baisser la mortalité sur les routes, moins de 4000 personnes, c’est ainsi que nos dirigeants gèrent les priorités).

Ainsi, ce Paris qui se pavane et qui s’appelle la plus belle ville du monde, ressemble de plus en plus à une vieille poubelle nauséabonde :

Paris vu de Passy, le 18/3/2015

A quand la « vraie décentralisation » ? Jamais bien-sûr, c’est aux habitants de prendre leurs responsabilités …

En 1996, je me suis sauvé de la plus belle ville du monde pour aller vivre à la campagne : entre riche rat des villes et pauvre rat des champs, il n’y a pas photo, c’est comme si on me demandait de choisir entre la nuit et le jour, entre l’ombre et la lumière, entre la mort ou la vie !

Mon « jardin » au lever du soleil

 A demain matin pour de nouvelles aventures boursières.