My facebook
Salvagnac, le dimanche 31 mars 2019
7h30
My facebook (traduction : ma face de bouc)
Cet article est né d’un jeu de mots à trois balles, ou plutôt à trois mots : mon, face, bouc – comme d’habitude dans mes écrits de la rubrique « Vie du site », je suis parti d’une histoire vraie, en l’occurrence, la mienne ! L’objectif de ce texte est au moins de vous faire sourire, voire un peu plus.
Décembre 2019 : dernière visite de la maison avant signature et, oh surprise, elle n’est pas tout à fait vide. D’abord, le vendeur (que je nomme « l’anglais » car c’en est effectivement un) nous offre quelques cadeaux empoisonnés comme deux armoires et une table, qui servaient en fait à cacher les rallonges qui alimentent les prises de la chambre – en gros, les diagnostics d’avant-vente ne servent absolument à rien, comme je l’ai déjà expliqué il y a quelques semaines : quand vous visitez, contrôlez absolument tout ce que vous pouvez par vous-même ! Ensuite, l’anglais nous a demandé si on pouvait garder ses poules (en fait, trois poules d’ornement qui ne pondent pas sauf l’été je suppose, et deux coqs) et le bouc qui tenait compagnie à son cheval. Nous avons gentiment dit oui à ce méchant anglais, ma femme adore les animaux, je comprends pourquoi.
Combien y-a-t-il de personnes qui n’ont pas de smartphone mais qui possèdent un facebook ? Sans doute quelques centaines, mais si vous y ajoutez une face de bouc, je pense que je dois être tout seul ! Nous voici donc avec un bouc d’environ dix ans, certes castré, mais bouc quand même … il s’est très bien habitué aux chevaux (à moins que cela ne soit l’inverse) mais reste inapprochable, cette bête ne doit pas connaître les caresses et notre anglais n’a du s’en occuper que de loin.
Voici donc ma face de bouc, non connectée, vedette de cet article, quelle gueule !
Prochain RDV avant mardi soir.
Pas de commentaires pour l'instant