La réalité de notre système politique français
Puycelsi, le lundi 12 décembre 2016
13h17
SANS COMMENTAIRE …
Trêve de la mi-séance, j’aurais pu intituler aussi cet article, « Pauvre France ».
Si vous avez 8 minutes et 38 secondes disponibles, vous pouvez visionner cette vidéo et toucher du doigt la réalité que vit une partie de nos élites de la haute administration, comment la droite, la gauche et les autres verts, gris, rouges ou pâles … ils ne sont que les descendants d’une monarchie qui n’a jamais été tuée, au moins pour 30% d’entre celles et ceux qui « nous gèrent ».
Pour la première fois depuis que je vote à la présidentielle, je mettrai un bulletin nul dans l’urne, à mon grand désespoir …
Prochain RDV vers 14h30, je vais déjeuner.
Salut Olivier,ta vidéo de philippe Pascot, commence à dater un peu!!!!!Mais bon ça reste d’actualité.
Bonne journée.
Hello,
C’est sur mais je ne la connaissais pas et les quelques sujets abordés me semblent un bon résumé …
Bonne soirée
je te lis depuis un moment déjà, et te pose la question : tu prones les dévaluations, alors quand ton argent ne vaudra plus que des clopinettes, seras tu riche pour acheter les matières premières dans la monnaie de ceux qui ont donné de la valeur ajoutée à leur tavail ? et à leur monnaie bien sûr…à moins de vivre en autarcie, mais je ne crois pas non plus; à aller vers le bas, on ne monte pas…
désolé, mais c’est mon bon sens à moi !
cordialement, Jean-Yves
Merci pour ton commentaire.
La dévaluation d’une monnaie permet à l’économie qui y est associée de rester compétitive lorsqu’on a besoin de relancer la croissance – un pays, une monnaie, une banque centrale – l’exemple du dollar devrait suffire à te convaincre – l’euro est une monnaie trop forte pour la plupart des pays de la zone-euro, ce qui explique une grande partie de nos problèmes structurels – c’est mon avis – d’ailleurs, si les anglais ont refusé d’adopter l’euro, c’est pour cette raison : garder le pouvoir de battre monnaie en fonction de leurs intérêts (et non se mettre en position d’esclave de l’Allemagne, dans le cas présent).
Bon dimanche !